L’organigramme des acteurs du groupe COVEA laisse penser aux assurés que cette société est fiable, que c’est un fleuron des entreprises françaises en matière d’assurances, notre analyse est que cette entreprise est à l’origine du chaos social qui vise les assurés.
Les victimes doivent obtenir la restitution de l’argent légitime des fonds des assurances suite à la survenance d’un sinistre et les directeurs d’assurances ne peuvent s’y opposer de manière incongrue.
Chers assurés, chères victimes, nous allons vous expliquer les méthodes des directeurs de COVEA qui plombent le jeu économique par des placements nomades, des achats divers et variés avec l’argent de nos cotisations qui n’ont aucun lien avec la destination des fonds pour lesquels les assurés s’assurent, ce qui nous paraît complètement injuste car la victime est en droit d’obtenir réparation du préjudice et les gestionnaires d’assurances refusent illégalement la réparation aux assurés.
La vérité est toute autre : magouille, enrichissement personnel des dirigeants d’assurances avec de l’argent à caractère social, déplacement des fonds des assurés afin d’échapper à la pression fiscale française en envoyant vos fonds d’assurances, des mutuelles, des prévoyances, protections juridiques etc ….. vers des paradis fiscaux via des filiales dont la base est située sur les Iles Bermudes, îles paradisiaques qui attirent les plus grands assureurs du monde et courtiers véreux d‘assurances style AON qui refuse de se conformer aux règles européennes en matière d’assurances et de justice dont le PDG a une rémunération simplement exorbitante.
Il est flagrant que les non conformités, les mauvaises combines tordues des directeurs se font aux sièges sociaux, au Mans pour MMA assurances.
Sous l’antité Partner Re elles se préparent également pour l’ensemble du groupe aux Iles Bermudes par des montages complexes de placement d’argent dans divers placements boursiers et autres placements nomades que les financiers connaissent bien, par des prises de capital dans divers domaines avec des partenariats douteux dans d’autres entreprises d’assurances et autres secteurs d’activités qui ne sont pas liés aux caractère social que sont les fonctions essentiels de l’assurance.
Ces non conformités sont pilotées par les directeurs financiers et avocats fiscalistes juriste sans scrupules du siège du groupe COVEA basé à Paris dont le siège est simplement somptueux, du grand luxe alors que les victimes naviguent dans la misère.
Il est flagrant que ces agissements portent tord aux victimes aux assurés du monde, personne n’ y échappe.
Les cotisations d’assurances et mutuelles augmentent de façon exponentielle et en contre partie peu ou très peu est offert aux assurés, aux nécessiteux.
Vous leur confiez votre argent pour qu’ils l’utilisent en cas de besoin pour aider votre famille et eux ils gaspillent vos économies d’assurés, ils utilisent votre argent pour d’autres fonctions qui n’ont aucun lien avec le social.
Ils s’attribuent des rémunérations indécentes, avec la bénédiction du conseil d’administration, ces agissements peuvent être qualifiés d’enrichissement personnel avec de l’argent à caractère social.
Par une multitude de coups tordus ils arrivent à s’affranchir de la justice, de la réglementation des assurances et prévoyances.
Ils violent les traités internationaux, ils sont experts en la matière ce qui m’amène à réagir et à dénoncer ces pratiques non conformes.
La localisation des assureurs ?
Les assureurs choisissent les Bermudes. Cet archipel britannique proche des États Unis est une belle démonstration de l’évasion fiscale pour les entreprises sans moralité ; l’argent est investi dans des placements non conformes, les fonds des assurés sont utilisés pour tout sauf à indemniser les victimes quand surviennent les réels sinistres, les problèmes de santé d’un patient, d’un salarié, d’une famille qui ont souscrit une mutuelle ou bien une prévoyance, des protections juridiques, des contrats d’assurances véhicules, assurances des maisons etc. , vous conviendrez qu’ils assurent tout, il existe des contrats pour tout assurer, vous imaginez les sommes qu’engendre ce business.
Les cotisations, les sommes recueillies sont simplement vertigineuses.
Dans cet article nous allons pointer les mauvais agissements de la direction de COVEA et de MMA, du courtier anglais AON– américaine, ainsi qu’une autre société composée essentiellement d’avocats la société de courtage des barreaux dont le dirigeant est également dans le secteur des activités immobilières dans le sud de la France.
Les courtiers sont partout, ils sont une interface malsaine des assurances. Ils ne prennent aucun risque, néanmoins ils captent votre argent et se font rétribuer grassement par les compagnies d’assurance, c’est le meilleur business au monde. Ils prennent de l’argent à caractère social et n’appliquent pas la norme de la réciprocité, ils n’appliquent pas correctement les normes CE de l’assurance, de la justice.
Les assureurs, les avocats courtiers violent toutes les normes internationales et traités de justice ONU, CEDH, traité de Lisbonne sur l’accès à la justice pour les justiciables, les traités sont bafoués à la vue et regard de tous les avocats qui sont très bien rémunérés par les dirigeants de ces sociétés de courtage, les avocats ne pensent qu’à l’argent et oublient les valeurs de l’assurance, la fonction essentielle des assurances qui est la réparation, leurs seul souci : épargner leur patron pour qu’il ne restitue pas l’argent à l’assuré victime.
Aucun avocat, aucun gestionnaire ne réagit, il est vrai que ce système est un véritable jack-pot pour ces sociétés ainsi les salariés profitent de tous les avantages, et souvent quand vous tentez de les joindre on vous dit qu’ils sont en vacances.
Les directeurs d’assurances avocats vendent des produits d’assurances aux assurés sans aucune contrepartie de réciprocité pour les victimes, les assurés, cela est considéré comme du vol.
On vend un produit et on ne fournit pas le service, il n’y a que dans les assurances que l’on peut voir ce genre de comportement d’escroquerie.
On vend la protection du risque et on ne fournit pas le service, c’est quoi ces méthodes qui relèvent du grand banditisme, de l’escroquerie en bande organisée ?
Est-il normal que la Direction de COVEA et MMA enfreigne les normes CE de l’assurance, transgresse les normes et chartes ACPR organisme d’Etat.
A quoi sert le syndicat la fédération des assurances : France Assureurs. Ne sont-ils pas rémunérés par les fonds des assurances que payent les assurés, ce syndicat manque vraiment de professionnalisme, n’intervient pas et ne fait aucun retour aux assurés, aux victime en cas de contentieux avec un de ses adhérents.
Sur le plan déontologique, ne trouvez-vous pas que Messieurs Thierry D., ex-PDG de COVEA redevenu directeur général du groupe de formation Avocat , ainsi que Monsieur Sylvestre F., manquent de déontologie, ces deux directeurs ont été appelés à intervenir dans un dossier RCP avocats.
Au regard de leur attitude nous considérons qu’ils ont une grande responsabilité sur le désastre économique et social de la population française.
La nébuleuse de COVEA des dirigeants qui la composent est très bien détaillée sur un schéma sur la cartographie d ‘APJ assistance protection juridique où les ramification sont bien visibles.
Visiblement la direction de COVEA recrute du personnel incompétent, les directeurs Éric L. directeur de MMA, le directeur d’indemnisation Yann C. ne font clairement pas leur travail, ils commentent des erreurs professionnelles, se placent en situation de non conformité sur les règles de l’assurance et normes CE supra constitutionnelles sur toute la ligne, le métier de l’assurance nécessite des compétences qui visiblement ces deux directeurs n’ont pas.
Les victimes, les assurés n‘ont évidemment pas à supporter les fautes professionnelles de ces personnes inefficaces qui s’offrent le luxe de contourner le système des assurances, le code des assurances, ne fournissent pas les services des protections juridiques dans les conflits ou interviennent en tiers les régimes généraux.
En qualité de victime, de représentant des tierces victimes, de représentant des justiciables, de représentant des assurés, nous souhaitons que ces personnes soient évincées du milieu de l’assurance suite aux non conformités, car elles n’appliquent pas les directives CE de l’assurance, ont une méconnaissance du code des assurances, elles participent à l’évasion fiscale du groupe COVEA ce qui nuit au peuple français, aux assurés.
Les normes en assurances et en matière de droit fiscal ne sont pas que de simples mots.
En qualité de victimes et tierce victime, nous avons adressé une multitude de réclamations légitimes sans aucune réponse d’indemnisation de la part de COVEA.
Les directeurs d’assurances ont commis des fautes, conjointement avec les sous-traitants les entreprises d’avocats, en conséquence nous sommes en droit de demander réparation.
Les entreprises d’avocats ont l’obligation d’assurance, ces entreprises sont assurées aux mêmes titres que l’ensemble de la population assurée, en cas de sinistre judiciaire, ou autre défaillance de fourniture de produit d’assurance, les contrats doivent bénéficier aux victimes des sinistres, n’en déplaisent aux directeurs d’assurances avocats.
Ces contrats d’assurances doivent produire leurs effets et non rester en suspens par des manœuvres frauduleuses.
Les assureurs et les avocats par des coups tordus prennent la liberté de transgresser la loi, en conséquence il y a faute professionnelle, le texte législatif est réglementaire, le code de procédure civile indique le cheminement, dès lors qu’il y a une entorse le contrat d’assurance peut être activé avec pour conséquence l’indemnisation de la victime, des tierce victimes avec une redistribution des cotisations d’assurances des entreprises d’avocats, l’assureur imputera le sinistre à l’avocat, ou aux avocats s’ils ou une faute collective ce qui est le cas.
Messieurs Thierry D. avocat, Sylvestre F. juriste, Eric L. et Yann C. sont des professionnels de l’assurance, ils doivent savoir interpréter les traités internationaux en matière de justice et normes CE d’assurances, en matière contractuelle, visiblement ils sont défaillants ou pire de grands malhonnêtes. Au regard des agissements nous pencherons vers la malhonnêteté.
Ces personnes sont de véritables imposteurs de l’assurance, elles utilisent des fonds à caractère social pour s’enrichir personnellement, elles enrichissent également tout l’organigramme imposant des dirigeants du groupe COVEA.
Le groupe COVEA rétribue grassement les chefs alors qu’ils n’ont pas les compétences requises ni la moralité aux fonctions d’assureurs.
Les assurés sont en droit d‘exiger que les personnes qui exercent dans le domaine de l’assurance soient compétentes et qu’elles soient dotées de moralité, qu’elle sachent ce que la charte de déontologie implique.
Dans les sociétés d’assurances, les gestionnaires imposteurs doivent quitter le navire, il doivent être poussés vers la sortie.
Les directeurs d‘assurance sont à des postes clés. Ces personnes sont aux services des assurés, des victimes mais elles sont injoignables, elles ne répondent pas aux courriels, aux recommandés, aux appels téléphoniques. Visiblement à l’intérieur de l’entreprise personne ne connaît leur téléphone, ces dirigeants interdisent aux salariés de communiquer le numéro du responsable.
Pour quel motif les directeurs d’assurance se cachent-ils ? Ils fuient leur responsabilité, font preuve de lâcheté. Ils utilisent certains salariés véreux du groupe pour se défiler, ils tentent d’utiliser des prestataires de services les entreprises d’avocats RAFFIN sans scrupules pour gagner du temps en recréant un nouveau procès, en utilisant tous les moyens de recours possibles et inimaginables afin ne pas indemniser les victimes, comportement complètement déloyal, irrespectueux envers les victimes qui peut être considéré d’usage à caractère mafieux.
La norme veut que les assureurs ont pour obligation de contrôler leurs sous-traitants avocats, leurs prestataires de services, de vérifier que les avocats ont les compétences et qu’ils ne transgressent pas les normes de l’assurance, les normes de la justice, c’est la mission essentielle d’un directeur d’indemnisation. Ce professionnel doit savoir faire la part des choses et ne pas accentuer le problème, créer de nouveaux sinistres.
S’il y a faute, il doit indemniser sans rechigner.
Un directeur, un gestionnaire qui n’exécute, n’applique pas correctement le code des assurances doit être exclu sans ménagement pour laisser place à un autre salarié qui aura la qualification requise au poste.
Monsieur Thierry D. avocat aux commandes du groupe COVEA (MAAF, MMA, GMF, PartnerRe).
Les règles d’assurances européennes en matière d’assurance et de prévoyance doivent être assimilées par Monsieur Thierry D. et toute son équipe sans exception.
Il est inutile de vous servir des confrères et des sous-traitants avocats, des entreprises des courtiers surnommés captives d’assurances AON et sociétés de courtages des barreaux qui assurent les avocats conjointement avec COVEA, MMA pour établir les coups tordus aux assurés, aux victimes, aux contribuables.
En qualité de directeur général du groupe COVEA vous devez répondre de l’ensemble de vos salariés, de vos prestataires de services avocats, qui sont assurés par COVEA et MMA.
Vos interfaces en assurance et réassurance du risque ont pour objectif de fluidifier le risque, il vous appartient d’appeler vos partenaires pour indemniser les victimes, vous avez suffisamment de fonds pour réparer les préjudices des victimes.
Les assureurs se réassurent entre eux afin par des stratagèmes de diminution de risque, par des placements, des blanchissements d’argent dans le domaine de l’art participation d’associations, etc. bien d’autres plans bien connus du système de la finance.
L’assureur ALLIANZ spécialiste dans le domaine du mécénat du sport.
La MACIF sont également des acteurs reconnus de l’utilisation des fonds des prévoyances des assurés dans d’autres domaines :
Exemple : l’étude, la fabrication de bateau IMOCA pour les courses au large à des prix exorbitants (plusieurs millions d’euros), etc..en revanche aucune prise en charge du sinistre, les garanties souscrites ne produisent que rarement leurs effets, nous savons bien de quoi on parle car nous en sommes également victimes.
La direction de COVEA, les directeurs d’assurances s’octroient des rémunérations indécentes et refusent d’indemniser les victimes. Ils doivent comprendre que l’argent des assurés appartient aux assurés et qu’ils ne peuvent utiliser l’argent à caractère social pour leur enrichissement personnel.
AGEFI a mis en avant les salaires scandaleux du directeur de COVEA et de l’ensemble de l’équipe du groupe COVEA.
Rémunération de Monsieur Thierry D. : 1 700 000 euros. Pour quel motif ce directeur mérite t-il ce salaire issu d’argent à caractère social ?
La direction de COVEA et autres assureurs utilisent à fond le système de la justice pour porter les coups bas aux victimes.
La composition des entreprises d’assurances se base essentiellement d’employés juristes qui ont suivi un cursus de droit au minimum et pour les plus qualifiés un diplôme d’avocats. Ils sont placés à des postes où ils pratiquent une résistance abusive sur les indemnisations des victimes.
Ils compliquent au maximum le dossier sinistre par tous les moyens, le but recherché est que, à la fin, la victime ne soit pas indemnisée.
Il est à souligner que seul l’argent compte pour ces employés juristes incompétents, qui n’ont aucune moralité, aucune déontologie dans le domaine humain. D’ailleurs s’ils exerçaient ailleurs, ils seraient vite exclus de l’entreprise.
Certaines entreprises ont encore des valeurs, n’acceptent pas de tels individus aussi mauvais, dépourvus d’humanisme.
Dans notre domaine de compétence nous ne supportons en aucun cas de tels individus tordus. Ont-ils le même comportement au sein de leur famille ? Si c’est le cas nous les plaignons.
Souvent vous les voyez rire mais en réalité ce n’est qu’une façade, ils font du mal aux personnes qu’ils ne connaissent pas, néanmoins l’acte moche est fait, la non conformité produite, je pense que souvent ils doivent mal dormir des crasses qu’ils font aux assurés et surtout aux victimes.
Dans la vie tout se paye un jour ou l’autre !……
La société est faite de personnes qui aiment le progrès, qui aiment les contrats clairs, qui savent ce que le mot réciprocité représente.
Les contrats doivent êtres respectés par les assurés mais également par les Directeurs d’assurances sans quoi ils s’exposent à des représailles.
Les entourloupes, les évasions fiscales et autres magouilles des dirigeants de COVEA, MMA et autres doivent êtres proscrites .
Les courtiers d’assurance n’ont rien à faire dans le milieu de l’indemnisation, ils ne doivent pas intervenir entre l’assureur, l’assuré, la victime.
Vous en connaissez sûrement des courtiers, méfiance avec ces personnes. Pour notre part nous en avons analysé deux célèbres les captive d’assurances AON et société de courtage des barreaux.
Ils pensent transgresser la loi impunément, mais actuellement les réseaux sociaux peuvent affaiblir ces entreprises très rapidement.
Internet a cette faculté d’ouvrir les vannes de l’information. Les cachés d’hier sont à présent mis en lumière pour ceux et celles en quête de transparence et de justice.
C’est d’ailleurs cette quête qui nous motive à dénoncer les dérives de certains gestionnaires d’assurance.
Pour rappel, un gestionnaire doit gérer l’argent qui lui est confié afin d’assurer les intérêts de ceux qui lui font confiance.
La confiance maître mot d’une relation seine et transparente.
Le groupe COVEA clôture l’exercice 2022 avec une hausse de 19% de son chiffre d’affaires à 22,7 milliards EUR (24,2 milliards USD).19 avr. 2023
Faisons une pause sur ce chiffre. Il est parfois difficile de poser des éléments de comparaison, bien que nécessaire pour avoir la pleine conscience du sujet. Les échelles de valeur ont leur importance.
Un milliard est égal à 1000 millions.
Si nous devons comparer à du temps, en disposant d’un million vous disposeriez de 11,5 jours et en disposant d’un milliard de 31,4 ans.
Avec un chiffre d’affaires aussi conséquent, vous comprenez que beaucoup de personnes confient de l’argent aux gestionnaires de COVEA.
Si on imagine que chaque assuré verse 50 euros/mois à COVEApour couvrir un risque de la vie, c’est l’équivalent de la moitié de la population Française qui serait assurée par COVEA.
Bref, vous l’aurez compris, les enjeux financiers sont importants.
Thierry D. a constitué des connexions nébuleuses pour brouiller les pistes financières et administratives.
Aucune réponse aux correspondances malgré des numéros de sinistres déclarés à MMA et COVEA.
Le parcours de Messieurs Thierry D. et Eric L. semble exemplaire et pourtant ils participent à la construction d’un nouveau modèle d’assurance fondé sur de mauvaises pratiques, peu équitables, ils pratiquent le chaos social.
Dans l’affaire que nous suivons, le groupe COVEA est impliqué. Mais derrière chaque prise de décisions, il y a un homme ou une femme.
Il est donc difficile de dé corréler une prise de décision de l’équipe dirigeante d’une entreprise.
Voici ce que dit la loi en matière de responsabilité :
Responsabilité civile du dirigeant d’entreprise : dans quelles situations peut-elle être engagée ?
La responsabilité civile du dirigeant d’entreprise peut être engagée s’il est prouvé que celui-ci a commis une faute ayant causé un préjudice à l’entreprise elle-même ou à un tiers.
Responsabilité civile du dirigeant d’entreprise : quelles fautes peuvent la mettre en cause ?
La responsabilité civile du dirigeant d’entreprise peut être mise en cause pour plusieurs types de fautes, parmi lesquelles :
les fautes de gestion
le non-respect des statuts, comme par exemple l’accord préalable des associés pour certaines décisions
le non-respect des lois ou règlements s’appliquant aux entreprises
les infractions aux obligations fiscales si le paiement de l’impôt sur les sociétés a été rendu impossible par le dirigeant
les infractions aux obligations sociales, par exemple si la société ne paye pas les cotisations de sécurité sociale, le dirigeant peut alors être condamné à verser des pénalités
la concurrence déloyale à l’égard de sa propre société.
Responsabilité pénale du dirigeant d’entreprise : quelles fautes peuvent la mettre en cause ?
La responsabilité pénale du dirigeant d’entreprise peut être mise en cause pour plusieurs types d’infractions, comme par exemple :
la fraude fiscale
le faux et usage de faux en écriture
le détournement de fonds
la négligence des règles de sécurité
les infractions douanières
les infractions environnementales
les tromperies sur la qualité du produit vendu.
Laisser une victime handicapée assurée sans indemnisation suite à un accident de la route causé par un tiers peut-il être perçu comme une faute impliquant la responsabilité des dirigeants ?
Nous répondons Oui !
Comme évoqué par la loi, il y a eu tromperie sur la qualité du produit d’assurance, faute de gestion, non-respect des lois et probablement détournement de fonds puisque l’argent est fléché à d’autres fins que celles de l’indemnisation des victimes .
L’affaire référencée auprès des services de COVEAet autres assureurs MACF, ALLIANZa une antériorité de 23 ans.
23 ans qu’une famille entière attend une indemnisation permettant d’alléger la peine de la victime et de ses proches, victimes collatérales de cette négligence de gestion.
Les courriers recommandés, les multiples courriels adressés à MMA et COVEA restent sans réponse.
Messieurs Éric L., Yann C., Thierry D., etc. ….. sont Injoignables par téléphone… Occupent-il réellement des fonctions au sein de l’entreprise ?
« Quand les statistiques minent la finance et la société – Risque, responsabilité et décision », Monsieur Sylvestre F. directeur adjoint de COVEA groupe nous vous permettons de vous rappeler que les meilleures décisions sont prises quand il y a une notion de « Skin in the game ».
Par le manque de considération des différents directeurs d’assurances du groupe COVEA, CARREFOUR, MMA et autres Messieurs Thierry D. et Eric L. sont à présent impliqués dans une affaire ayant déjà été présentée au plus haut sommet de l’Etat.
Seule une indemnisation nous ferra revoir notre position.
L’indemnisation demandée devra couvrir les préjudices subis depuis
23 ans. Les gestionnaires, les avocats ont mal agi au détriment du bien-être d’une famille entière, victime et tierces victimes.
Le montant n’est pas si élevé pour un groupe capable de générer annuellement plus de 22, 7 milliards d’euros.
Cela représente 0,01% de votre chiffre d’affaire annuel.
Cela représente à peine plus d’un an de la rémunération annuelle de Thierry D. , directeur général de COVEA.
Nous ne le dirons jamais assez, les échelles de valeur ont leur importance.
Dans les semaines à venir, nous aurons le plaisir de continuer nos recherches sur les membres du conseil d’administration du groupe COVEA, participerons à la compréhension et à la mise en transparence de la nébuleuse société COVEA.
Nous étudierons la matrice Thierry D., nous nous intéresserons au sponsoring/mécénat, à la notion de Réassurance. AON entreprise mondiale en assurances et société de courtage des barreaux qui appartient à un homme d’affaire qui exerce également dans l’immobilier dans le sud de la France.
Pour quel motif COVEA et son directeur avocat a t’ils des liens, des relations privilégiées avec certaines le corps des entreprises d’avocats avec le CNB organisme de contrôle des avocats et bâtonniers.
Les conflits d’intérêt ne sont-ils pas bien visibles dans ces conditions ?
Pour nous, il est évident qu’il à bien un conflit d’intérêt entre avocats et assureurs.
Les victimes, les assurés n’ont pas à en subir les conséquences des conflits d’intérêts et escroquerie en bande organisée des directeurs des compagnies d’assurances et des patrons des entreprises des avocats.
Les assureurs et avocats ne doivent pas être au dessus de l’ensemble des citoyens, des assurés, des lois du législateur, de la constitution.
Nous voilà avec de belles occupations en attendant l’indemnisation.
Nous vous invitons à écouter ci-dessous la très « instructive » interview de Thierry D. dans une émission de BFMTV où il se compare sans complexe à un célèbre homme d’affaires américain qui a déclaré il y a quelques années, qu’il existait « bel et bien une guerre des classes mais c’est ma classe, la classe des riches qui fait la guerre et c’est nous qui gagnons ».
Messieurs, mesdames assureurs, n’oubliez pas que vous gérez l’argent de ceux qui vous le confient.
Cet argent est destiné à couvrir les risques de la vie des assurés, des victimes. Merci de faire votre travail et de stopper votre enrichissement personnel.
D’autres entreprises d’assurances sont également impliquées dans le scandale à l’assurance.
Les directeurs d’assurances utilisent les fonds de l’argent social, des fonds des prévoyances et assurances à d’autres fins que celui de la réparation aux victimes qui évidemment se voient spolier le bénéfice de leur argent épargné, placé en cas de coup dur.
Une pétition est en ligne sur le site de l’assemblée nationale pour dénoncer ces dérives.
Titre :Abrogation de l’article 4 de la loi 71-1130
Les chiffres : 70 000 avocats Français assurés pour porter préjudice à 67, 75 millions d’assurés français et autres personnes dans le monde.
Rémunération annuelle du PDG de COVEA d’après l’AGEFI : 1 700 000 EUROS.
Rémunération annuelle d’un assuré, handicapée à vie : 5 400 EUROS versé par les régimes généraux suite à un sinistre automobile, la CRAMIF verse 450 euros / mois.
Le groupe COVEA clôture l’exercice 2022 avec une hausse de 19% de son chiffre d’affaires à 22,7 milliards EUR (24,2 milliards USD).19 avr. 2023