Un abus évident de position dominante des avocats
Titre pour une profession incongrue
Appelez-moi Maître ?
Titre inapproprié que l’on donne aux avocats des différents barreaux, aux avocats officiers ministériels de la cour de cassation et du conseil d’État aux avocats européens, aux avocats des entreprises d’assurances du monde .
L’appellation de Maître n’est telle pas un abus de position dominante pour une corporation qui viole toutes les règles de la justice, le principe des droits fondamentaux CEDH et ONU les constitutions, les textes réglementaires et législatifs.
Il est constant que cette profession porte préjudice aux justiciables, aux victimes, aux personnes handicapées, aux assurés du monde.
Dans la vie civile, dans la société, il est reconnu que l’on peut qualifier à juste titre certaines personnes de Maître. Ce mot n’est pas de trop pour une personne qui excelle dans son domaine, qui a un véritable art dans sa compétence, qui réalise quelque chose d’extraordinaire de beau, d’utile pour la société, qui permet de faciliter la vie à chacun, qui laisse une trace indélébile pour les générations futures, qui permettra aux autres de grandir, d’améliorer nos conditions de vie, d’éprouver du plaisir.
Le mot de Maître ne doit pas être utilisé à tort et à travers pour n’importe qui et n’importe quoi. Les avocats se font appeler maître alors qu’ils n’ont aucun art ; ces juristes ont souvent des casseroles à leur actif ; ils font souvent des erreurs volontaires, pour d’autres qui ont une conscience professionnelle des erreurs involontaires. Certains ne se gênent pas pour détourner la vérité, ils s’arrangent pour aiguiller les juges dans une mauvaise orientation, pour qu’ils rendent un jugement plus clément pour les entreprises d’assurances, afin que l’assureur n’indemnise pas la victime.
Les avocats se créent eux-mêmes un privilège de titre sans aucune honte. Ils se donnent eux-mêmes ce titre de Maître, qualification qu’ils ne méritent clairement pas au regard de leur comportement immoral ; ils sacrifient leur serment, ils bafouent les règles RIN et CCBE basiques de la profession sur le chapitre déontologie.
Les justiciables doivent prendre conscience de leur position dominante, ils sont introduits partout pour contrôler la société : ministre de la Justice, président de la commission des loi, députés, sénateurs, députés européens, directeur général des compagnies d’assurances, ministre d’autres portefeuilles. Souvent ils sont placés à Bercy ministère des Finances, on les retrouve partout à des postes clé ou ils contrôlent la société pour leur avantage.
Dans nos mémoires nous nous souvenons de grands artistes que tout le monde reconnaît unanimement comme maître car il ont fait des prouesses, accompli des œuvres immenses ; on se souviendra de Leonard de Vinci, de Michel Ange, Antonio Vivaldi ou bien Mozart qui sont considérés comme des virtuoses de la musique classique pour ne citer que quelques-uns. L’interprétation de leur œuvre donne des frissons aux musiciens, au public qui assiste à un concert dans une salle, un auditorium, un opéra.
Jean de La fontaine était également, à mes yeux, un véritable Maître de la poésie.
Il est vrai que dans le monde, il existe des véritables Maîtres et cela dans n’importe quel domaine, des personnes qui sont douées naturellement, qui ont une facilité à exercer un art dans un secteur.
Exemple un architecte qui construit un monument unique, un charpentier qui réalise une charpente d’une cathédrale, un menuisier qui construit un escalier magnifique d’une complexité remarquable style l’escalier qui est situé dans une librairie à Porto au Portugal que les touristes du monde entiers vont visiter et qui est d’une beauté exceptionnelle.
Un médecin, un chirurgien qui sauvent des vies ; pour moi et les autres humains ces gens sont des véritables Maîtres, des héros qui ont toute notre estime.
Il y a des personnes qui réalisent des prouesses hors du commun. Plus récemment on a découvert des maîtres de l’informatique, des maîtres programmeurs qui sont des artistes en facilité de gestion de l’outil de travail pour les entreprises, qui créent des interfaces intuitives, etc… Dans chaque domaine et activité on peut trouver un Maître.
Autre exemple un Maître Jardinier paysagiste qui réalise un jardin extraordinaire. Quand vous allez à Versailles, au château de Vaux le Vicomte vous verrez l’œuvre du Maître André LENOTRE, vous constaterez là le véritable art d’un maître paysagiste.
Vous conviendrez avec moi que les personnes qui ont conçu les cathédrales de Chartres, de Reims, le château de Versailles, les nombreux châteaux qui bordent le fleuve de la Loire sont également des génies que l’on peut qualifier de Maîtres.
Plus récemment les personnes qui sont des ingénieurs aéronautiques du programme de l’avion Airbus A350 ont réalisé une prouesse de créer un avion léger à base de fibre de carbone qui transporte les voyageurs dans le monde entier ; ces personnes, grâce à leur talents, méritent d’être appelées super ingénieur, pour autant elles ne s’appellent pas Maître. En conséquence le mot de Maître ne doit pas s’appliquer à tout le monde, ce titre doit être attribué a des personnes exceptionnelles.
Revenons à la profession du droit.
Les avocats qui utilisent l’appellation de Maître me semblent exagéré pour cette profession qui a des conduites plus que douteuses.
Certains des membres de la confrérie, du corps pratiquent un art particulier : l’art de l’escroquerie. Ces juristes n’ont aucune moralité, la plupart des avocats fiscalistes ne pensent qu’à une chose : éviter à leurs clients de payer des impôts par des montages de toute sorte, des évasions fiscales dans des pays étrangers, placent les fonds des assurés dans des paradis fiscaux à l’insu des assurés, font des contrats des plus vicieux pour asservir la population à des abonnements de toutes sortes : assurances, mutuelles, contrats de protection juridique, défense recours afin d’escroquer les personnes vulnérables.
Ils aident certaines personnes à acheter des œuvres d’art pour faciliter des transactions de toutes sortes douteuses car tout le monde sait que l’art n’a pas de prix. Ainsi parfois on s’aperçoit que des entreprises, des particuliers aux revenus indécents achètent, à des soi-disant artistes, des œuvres d’art à un prix exorbitant. Dans ce cas-là on est en droit de s’interroger pour quelle raison un tel prix pour une croûte aussi moche, vilaine, qui ne vaut rien ; pour cela il expose au public la soi-disant œuvre dans des musées, dans des galeries pendant un certain temps et par un tour de magie, le système de la défiscalisation opère pour ces personnes sans moralité.
Les plus grands truands utilisent habilement les avocats, le système judiciaire pour se voir libérés de leur dette envers la société. Les personnes qui n’ont aucune déontologie payent grassement les entreprises d’avocats, sans aucune réserve, sans honte, les avocats acceptent l’argent des clients fortunés qui leur demandent en contrepartie de trouver des parades pour contourner le système fiscal en toute impunité avantageant ainsi le client malhonnête, l’escroc.
Les personnes sans morale, sans valeur éthique, peuvent être défendues ; en revanche une personne qui subit un désastre, un sinistre de la vie quotidienne, un sinistre automobile, aura le plus grand mal à trouver un avocat, ou alors fort de leur monopole de représentation devant certaines juridictions cette profession demandera des sommes exorbitantes à la victime pour être défendue par un juriste aux compétences médiocres qui se fait appeler Maître, consécutif par son simple diplôme universitaire.
Et-il normal que certains juristes, en matière d’action judiciaire, se permettent de soutirer de l’argent indûment à une victime alors que cette victime est couverte par un ensemble de contrats d’assurances, des garanties couvrant l’assistance d’un juriste.
Les juristes le savent et ne font rien pour venir en aide à la victime à part culpabiliser
la victime et lui demander de trouver de l’argent pour les honoraires des avocats, d’huissier, frais des tribunaux, etc…
Quand vous posez une question à un juriste sur des sites dédiés aux avocats sur les non conformités évidentes d’un confrère, sur les mauvais agissements du confrère, le corps des avocats ne répond plus. Ils font la sourde oreille, ils font bloc car ils ne veulent pas s’attirer les foudres du corps, la solidarité joue à fond, même si c’est pour couvrir des confrères peu scrupuleux, sans aucune déontologie.
Quand ils répondent sur d’autres sujets qui ne leur portent pas préjudice à eux et à leur organisation, ils n’oublient pas d’indiquer « réponse faite par Maître… »
Dans de nombreux forums dédiés aux avocats qui proposent des consultations gratuites via internet par des sociétés, un mélange d’entreprises privées et d’entreprises d’avocats si vous cherchez vous verrez que souvent les justiciables posent des questions sur la non-mise en œuvre des contrats de protection juridique, des défenses et recours qui ne produisent pas leur effets.
Les avocats produisent alors des réponses vagues, ils indiquent simplement de faire une mise en demeure et si l’assureur ne répond pas vous devez assigner avec l’aide d’un avocat.
A votre avis qui va payer cet avocat ? Il me semble que c’est la personne qui assigne du gagnant – gagnant pour les assureurs, les avocats. Ici nous constatons que les victimes sont piégées par les assureurs, les prestataires de services avocats, la victime paye toujours. Une proposition de devis vous est alors immédiatement faite.
Les assurés payent, cotisent pour des assurances et les avocats qui sont parfois aussi placés à la tête des compagnies d’assurances ne fournissent pas les services, redemandent de l’argent alors que la victime a déjà payé.
À ce moment-là l’incompétence est démontrée, il y a fraude intentionnelle des assureurs avocats, des avocats en assurances, qui sont parfois également des avocats fiscalistes.
Vous conviendrez facilement que le mot de maître à ce moment ne s’applique plus, il convient plutôt de qualifier cette profession de malhonnête, car les agissements non conformes aux normes de droit, contraires à la norme constitutionnelle enlèvent le sens de ce titre de Maître.
Il faut revenir à la réalité des mots, à la réalité de la fonction d’avocat.
Je trouve que le mot de juriste serait mieux adapté pour cette profession qui n’est dotée d’aucune déontologie, le mot Maître ne doit être utilisé à tort et à travers.
Ce titre ne doit être attribué que pour des personnes qui excellent dans leur art. Le fait simple de passer un simple diplôme d’avocat, d’avoir fait une école de droit à la Sorbonne ou à la faculté des droits politiques et de droit Aix en Provence – Marseille autres facultés de droit ne confère en rien à cette profession que l’on les appelle Maître.
Maître la qualification de trop pour cette profession qui n’est en réalité qu’une profession curieuse, qui se croit supérieure aux autres professions alors qu’en réalité ils ne produisent rien, qu’ils ne font rien de leur main à part pervertir le système judiciaire actuel en encombrant les tribunaux par leur manque de professionnalisme, en créant renvoi sur renvoi, en ne respectant aucune règle judiciaire et code de procédure civile, en privant les justiciables de leurs droits fondamentaux, en faisant payer les victimes encore et encore.
Ce mot est ridicule pour cette profession qui ne se gêne pas de déroger aux règles fondamentales du droit puisqu’elle n’applique même pas les règles CEDH – ONU la constitution, les lois promulguées par le Parlement ; elle viole le code des assurances.
Mesdames, Messieurs les avocats réveillez vous, le peuple, le monde vous regarde ; les assurés, les victimes réprouvent vos agissements dépourvus de déontologie, vos agissements non conformes, votre travail d’amateurisme, vous n’avez plus l’art de votre profession.
Les conflits des assurés avec leurs assureurs génèrent des profits considérables pour les assureurs, les juristes, ils en profitent allégrement, néanmoins le peuple petit à petit les démasque.
Les moyens de communication, d’information deviennent des outils redoutables pour contrer ces professions malsaines.
Une réforme importe s’impose à votre profession qui manque de valeurs humaines.