L’incroyable mauvaise foi des avocats.
Analyse par les justiciables, les assurés, de cette entité peu glorieuse.
Conformément à la constitution, les conventions CEDH et ONU, les justiciables ont des droits, visiblement le CNB, le CCBE l’ignorent.
Comme dans toutes les professions dans le domaine des avocats, il y a des avocats professionnels avec une certaine déontologie.
Malheureusement pour les victimes et les clients, il y a également des avocats non professionnels, qui n’ont aucune déontologie, qui ne sont aveuglés que par le profit, leur confort personnel, en faisant croire aux clients qu’ils travaillent alors qu’ils ne font rien ou très peu. Ils ne pensent qu’à soutirer de l’argent aux clients, aux personnes vulnérables, aux artisans courageux, aux entreprises, à toutes les personnes qui ont besoin de leurs services suite à leur monopole de représentation.
Il convient de rappeler que tout litige supérieur à 10 000 euros doit comporter un avocat. Cette somme est une somme dérisoire et crée une dépendance injuste, qui coûte énormément cher pour les justiciables ; ce petit montant de 10 000 euros procure une manne financière énorme pour cette profession.
Pour se rendre compte de leur manège, vous pouvez vous rendre par exemple devant n’importe quelle juridiction : tribunal judiciaire, tribunal de commerce, cour d’appel, cour de cassation, pour vous en rendre compte, vous pouvez vous rendre auprès d’une juridiction car les audiences sont libres. A ce moment-là vous verrez le manque de professionnalisme, les renvois sur renvois, c’est simplement scandaleux ; dans ces salles règne une impression de mal-être, de malaise indescriptible des victimes, des justiciables.
Dans ces salles on voit également des scènes curieuses de toute sorte, des connivences. Dès qu’un avocat est attaqué, l’ensemble du corps réagit pour défendre cet avocat, même s’il commet des erreurs impardonnables : violation du contradictoire, non respect du code de procédure civile. J’ai même constaté qu’ils se permettaient de faire intervenir à l’audience des stagiaires non habilités sans maître de stage et ceci lors d’une audience à la barre. La liste est longue de leurs manquements, ils violent souvent leur serment sans aucune gêne, il sont toujours à la limite du fil du rasoir. Parfois il se font recadrer par le président de juridiction mais ils ont toujours une excuse sous le chapeau.
Le constat est accablant : certains avocats produisent un travail médiocre, ont un comportement non déontologique, à ce titre le client est en droit de se rapprocher du bâtonnier du barreau, du conseil de l’ordre de discipline du barreau.
Si le client constate des fautes judiciaires ou autres manquements, il est en droit de déclarer un sinistre, d’engager la responsabilité civile professionnelle de l’avocat ou du barreau s’il y a faute collective de plusieurs avocats.
Par expérience la victime contacte le bâtonnier ; ce même bâtonnier n’est pas là pour venir en aide au justiciable, il est là pour défendre le corps des avocats.
Un requérant, une victime procède à une réclamation auprès du bâtonnier.
Les réponses des bâtonniers ne sont pas neutres et tentent toujours de couvrir l’avocat, elles sont toujours de même nature, pour l’ensemble des barreaux.
L’ensemble des bâtonniers utilise des formules standard sans même analyser en profondeur les réclamations.
Les bâtonniers ont pour habitude de faire des réponses tardives. Le bâtonnier informe le plaignant, la victime que l’avocat n’a pas commis de faute, que l’avocat a très bien fait son travail, que la responsabilité civile professionnelle de l’avocat ne peut être engagée, alors que la faute est évidente.
Dès lors une divergence surgit entre le plaignant, le bâtonnier, l’avocat auteur du manquement professionnel.
La victime, ne trouvant pas écoute, souhaite trouver une instance supérieure pour porter la doléance, la réclamation.
Il existe une association soumise à la loi de 1901 réunissant les bâtonniers des barreaux français et d’Outre-mer, son siège est basé à Paris.
Théoriquement l’instance officielle supérieure des avocats se situe à Paris
Conseil National des Barreaux – C N B
180 bd Hausmann, 75008 PARIS
Les agissements non conformes du CNB
Les présidents du CNB changent régulièrement, en revanche le directeur en poste est toujours le même depuis un bon nombre d’années. Ce directeur voit défiler les présidents du CNB et lui il reste en poste malgré son manque de professionnalisme.
En qualité de victime, de représentant des tierces victimes, de représentant des assurés, de représentant des justiciables, nous avons contacté à plusieurs reprises (par courrier en lettres recommandées, par courriel) le directeur, il ne donne pas suite aux réclamations, ne répond pas aux courriels, ce comportement constitue une faute professionnelle.
Notre constat est que le conseil national des barreaux n’a aucune autorité sur les bâtonniers, sur les avocats auteurs des manquements professionnels,
Quand vous téléphonez au conseil national des barreaux, le directeur du CNB est injoignable. Ce directeur de manière incongrue demande à la standardiste du CNB d’aiguiller les victimes, les personnes qui appellent vers le ministère de la justice alors que ce ministère n’a aucune compétence pour trancher les affaires d’assurances responsabilité civile des avocats.
En France, en Europe, il existe une problématique concernant cette profession qui ne respecte aucune règle, qui se pense intouchable.
Dès lors qu’il y a une action en responsabilité civile contre un avocat ou un groupement d’entreprises d’avocats, le corps des avocats régional, national fait barrage, aucun ne veut prendre l’affaire de la victime, vous trouverez toujours une réponse négative.
Vous dites simplement action RCP, Avocats, de suite la porte se ferme, on ne veut plus vous entendre, comme si votre action était pestiférée.
Les avocats ne se gênent pour attaquer dans des actions RCP, les justiciables, les artisans, les entreprises de toute sortes, n’importe quel assuré. En revanche quand ce sont les avocats qui commettent des fautes, le système se bloque, il ne veulent pas attaquer leur confrères, comme si cette profession d’avocats ne commettait jamais d’erreur.
Ils ne se gênent pas pour mettre les gens dans le malheur, pour déposséder les gens de leur bien. Par contre si une victime leur demande réparation vis-à-vis de son assureur, COVEA, MMA, ALLIANZ, AON, société de courtage des barreaux suite à leur faute professionnelle, cela ne va plus, il n’a plus personne comme interlocuteur, ils font la sourde oreille.
Ces agissements scandaleux sont totalement contraires au principe d’accès à la justice.
Une réforme importante s’impose à cette profession malsaine, leur monopole de représentation doit être abrogé car il nuit à l’ensemble de la société, au peuple du monde.
J’invite toute personne à demander abrogation de l’article 4 de la loi 71-1130 du
31 décembre 1971 qui est contraire à toute forme de justice, à la constitution.