En matière d’assurance les jeux sont pipés

Pourquoi finissez-vous toujours par ne pas être indemnisé par les entreprises d’assurances ?

Il est crucial pour les assurés, les victimes, de prendre conscience que le code des assurances ainsi que la directive n° 2009/138/CE du Parlement européen et du conseil ne sont pas respectés par les entreprises d’assurances et entreprises d’avocats.

Le système judicaire en vigueur est clairement en défaveur des assurés, des victimes.

Sans aucune déontologie, les directeurs d’assurances, les avocats, certains experts médecins sont aux services, sous les ordres des directeurs assurances.
Ces médecins rendent des avis en défaveur de la victime, allant chercher d’autres pathologies sans lien avec le traumatisme dont souffre la victime.

Ces médecins experts ne se préoccupent pas des dégâts qu’ils créent à la victime déjà affaiblie ; leur seul but est d’épargner leur client, les assureurs, pour qu’il n’indemnise pas le préjudice.

Il  est certain que ces experts n’ont aucune solution pour soigner la victime du sinistre.

Ce comportement a été constaté, vécu, dénoncé. La preuve en n’est que ces experts rendent des avis pour  les tribunaux sans même avoir ausculté la victime.
Vous comprendrez aisément que les médecins des assurances manquent clairement de professionnalisme.

Un expert ne peut émettre un avis sans avoir examiné la victime, y compris pour les experts des régimes généraux, c’est pourtant  des pratiques qui existent.

Ces médecins devraient avoir honte de leurs agissements non règlementaires, qui rendent des avis en aveugle, avis non conformes aux règles et procédures d’expertises.

Chaque intervenant (assureurs, médecins experts d’assurances, avocats, régimes généraux) selon ses compétences, a pour objectif de placer une petite pierre afin de détourner la vérité médicale de la pathologie du patient victime, une petite pierre pour saboter le dossier juridique afin de minimiser au maximum le coût de la réparation dû à la victime.

A plusieurs reprises, nous avons également constaté la froideur, le manque d’humanité de certains juges qui ne prennent pas en considération la loi n°85-677du 5 juillet 1985 tendant à l’amélioration de la situation des victimes d’accidents de la circulation et l’accélération des procédures d’indemnisation de la loi Badinter est applicable aussi bien pour l’indemnisation des dommages matériels que corporels, la non application de cette loi avec rigueur avantage considérablement  les assureurs, les entreprises d’avocats.

Les victimes restent injustement sans aucun espoir de réparation du préjudice subi.
Les juges se font duper facilement par les assureurs, les avocats.

A quoi servent les compagnies d’assurances, les régimes généraux s’ils ne font pas leur job correctement quand survient un sinistre ?

A quoi servent les lois, les codes, les textes législatifs et règlementaires ?

Où est la justice ? Où est la déontologie de ces corporations qui vivent en cercle fermé et qui ne se soucient pas le moins du monde du mal qu’elles font à la société, aux humains ?

Avec la corporation des assureurs, les victimes sont toujours perdantes, désavantagées puisque les contrats de protection juridique ne fonctionnent pas, les défenses recours ne fonctionnent pas, l’aide juridictionnelle ne fonctionne pas.

Aucune garantie du système en place ne produit ses effets. La victime, les assurés  ne sont pas pris en considération par les directeurs des entreprises d’assurances, par les chefs d’entreprises d’avocats.

Les directeurs d’assurances et les chefs d’entreprises avocats, les régimes généraux ne tiennent pas compte du code civil Article 1240 qui décrit les droits pour chaque citoyen humain.

Tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer.

Entreprises d’assurances, entreprises d’avocats vous avez un sérieux  retard de justice puisque le sinistre  date du 5 janvier  2000. Que comptez-vous faire pour réparer vos erreurs judicaires ?

Les directeurs ainsi que les chefs d’entreprises avocats doivent considérer dans leurs têtes que les tribunaux sont comme des casinos, les jeux de hasard où la victime à la fin doit toujours perdre.

Le système des assureurs est bien plus mauvais que celui des sociétés des jeux d’hasard puisque les assurés payent des cotisations sans jamais avoir aucun retour en cas de sinistre sérieux corporel, trouvez-vous cela normal ?

Pour cela ils utilisent un jeu de carte pipé toujours à leur avantage qui leur permet toujours de gagner  qui est décrit ci dessous.

 

Distribution  des cartes Jeux avantageux  assureurs /Avocats

 

As de trèfle Nos cotisations, notre argent
As de pic Notre argent pour payer des prestations les avocats, certains experts médecins aux pratiques non déontologiques
As de carreau Connivence entre assureurs et avocats au détriment des assurés
As de cœur Juristes d’assurances, avocats avec
des études, diplômes de droit, face à
de simples assurés, des victimes.
 

 

 

 

 

Le joker gagnant à tous les coups

 

 

L’Avocat :

 

Le perturbateur, le brouilleur  de cartes

 

 

 

 

 

 

Loi n° 71-1130 qui mentionne

 

 

Article 4

Modifié par la Loi n°2011-94 du
25 janvier 2011 – art. 12

Nul ne peut, s’il n’est avocat, assister
ou représenter les parties, postuler et plaider devant les juridictions et les organismes juridictionnels ou disciplinaires de quelque nature que
ce soit, sous réserve des dispositions régissant les avocats au Conseil d’État
et à la Cour de cassation.

Le bénéfice du monopole de représentation par les entreprises d’avocats devant certaines juridictions.

 

TGI, Cour d’appel, Cour de cassation, conseil d’état, tribunal des conflits.

 

Conseil constitutionnel.

 

Petites  cartes faibles pour les assurés, les victimes Victimes très peu indemnisées

 

En revanche, les victimes, les assurés ne reçoivent que le reste des cartes de petite valeur ce qui a pour finalité, à plus ou moins longue échéance, de faire perdre la victime. La réalité c’est que les assureurs ainsi que les chefs d’entreprises d’avocats ont le bénéfice du temps pour eux, rien ne presse, dans le cas où la victime décède.

Pour dégouter la victime et ne pas indemniser, les entreprises d’assurances, les régimes généraux, les entreprises d’avocats utilisent toutes les procédures et moyens offerts possibles, toutes les voies de recours afin d’épuiser les victimes.

Ils renvoient les affaires jusqu’à la Cour de cassation, conseil d’état, tribunal des conflits afin de gagner du temps car, ils le savent, le temps travaille pour eux.

Ainsi d’une manière ou d’une autre, la victime n’obtient jamais réparation ou très rarement, peut-être si elle fait partie de la caste des juristes, des assureurs, des experts médecins, tout ce joli monde à la botte des entreprises d’assurances qui vit en cercle fermé.

L’assuré est mort, les assureurs sont exonérés de leur responsabilité de réparer le préjudice.

La constitution française, les textes et conventions européennes, ONU, définissent pourtant  d’autres principes. Les droits fondamentaux que semblent avoir oubliés les chefs d’entreprises d’assurances et chefs d’entreprises d’avocats, les régimes généraux.

Avec les assureurs et les avocats vous êtes victimes, ils prennent tout votre argent, vos économies ; ils vous spolient  sans aucune honte et aucune déontologie.

Nous considérons que ces abus doivent prendre fin, qu’une réforme doit être menée pour le bien du peuple, de la société, des humains, de la justice.

Je vous invite à prendre contact  avec vos députés, vos sénateurs de votre région pour dénoncer ce système obsolète, véreux, nuisible aux assurés et victimes.

Les personnes qui trahissent ces valeurs qui n’ont aucune déontologie, commettent  des fautes professionnelles. Ces mêmes intervenants doivent être réprimandés, et la victime est en droit de demander que le système d’assurances en place procède à la réparation des auteurs des fautes des avocats et des préposés d’assurances  conformément à l’article 1240 du code civil, le code des assurances ainsi la justice retrouvera l’équilibre, triomphera.

Le monde se bâtit toujours sur des valeurs positives, des valeurs véritables, des valeurs de confiance. Au regard de leurs agissements, les assureurs, les avocats sont loin de mériter notre confiance.

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